Le RN sous le choc : ce que vient de faire Meloni

Le RN sous le choc : ce que Meloni vient de faire

 

L’Italie entre dans une nouvelle ère sous la direction de Georgia Meloni, et ses actions frappent comme un coup de tonnerre, même au sein du Rassemblement National (RN). Alors que la France reste engluée dans des débats interminables sur la politique migratoire, Meloni a pris des mesures audacieuses qui redéfinissent la gestion des frontières et la sécurité nationale. Le RN, traditionnellement vocal sur ces questions, ne peut que constater avec stupéfaction la rapidité et la fermeté des décisions italiennes.

Meloni a déclaré l’état d’urgence nationale, déployant des navires de guerre pour patrouiller en Méditerranée et bloquer les débarquements de migrants. Les ports sont verrouillés, et les passeurs sont désormais confrontés à des amendes colossales pouvant atteindre 900 000 euros. En seulement quelques jours, la migration illégale a chuté de près de 60 %, un résultat qui laisse les observateurs européens sans voix. Pendant ce temps, la France, avec un gouvernement qui semble paralysé, continue de faire face à une crise migratoire croissante, sans aucune stratégie claire.

Leader of Front National, Marine Le Pen (R), with the President of Italian party “Fratelli d’Italia”, Giorgia Meloni, during the Italian Tv program “Di martedì” in Rome, Italy, 20 January 2015.
ANSA/ALESSANDRO DI MEO

Marine Le Pen, en réponse à ces développements, a exprimé son admiration pour Meloni, affirmant que l’Italie protège ses valeurs et sa culture, alors que la France semble se plier aux exigences de la charia. Le discours de Le Pen a été un appel à l’action, exigeant une interdiction générale du voile et un retour immédiat des réfugiés syriens. Elle dénonce une politique française qui, selon elle, favorise l’immigration illégale tout en négligeant la sécurité de ses citoyens.

Les mesures de Meloni vont audelà des mots : elles incluent une interdiction nationale des voiles islamiques couvrant le visage et un contrôle strict des financements des mosquées. Le projet de loi prévoit des amendes allant jusqu’à 3000 euros pour les femmes qui enfreignent cette nouvelle règle. Meloni et son parti, Fratelli d’Italia, montrent ainsi une détermination à lutter contre ce qu’ils qualifient de “séparatisme islamique”.

FILE PHOTO: Italian Prime Minister Giorgia Meloni attends a press conference with German Chancellor Friedrich Merz (not pictured) at Chigi Palace in Rome, Italy, May 17, 2025. REUTERS/Remo Casilli/File Photo

Alors que l’Italie agit avec détermination, la France semble engluée dans des débats sur la diversité et la tolérance, souvent au détriment de la sécurité. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la criminalité augmente, les violences sexuelles et les tentatives d’homicide sont en hausse, et la dette publique continue de croître à un rythme alarmant. Le RN dénonce un gouvernement qui, selon eux, privilégie les intérêts étrangers et les ONG au détriment de la sécurité nationale.

Le contraste entre les deux pays ne pourrait pas être plus frappant. Pendant que Meloni agit, Macron et son gouvernement semblent incapables de répondre aux préoccupations croissantes de la population française. La colère monte, et les citoyens commencent à se demander combien de temps encore ils devront attendre pour voir des résultats tangibles.

L’urgence de la situation est palpable. L’Italie montre la voie, et la France doit réagir. Les citoyens attendent des actions concrètes, et la pression monte sur le gouvernement pour qu’il prenne des mesures significatives face à une crise qui ne fait que s’aggraver. La question reste : la France suivra-t-elle l’exemple de l’Italie, ou continuera-t-elle à naviguer dans l’incertitude ? Le temps presse, et les événements en cours pourraient bien redéfinir le paysage politique européen.