À 2 h 45 du matin, une mère tenait la petite main de sa fille et lui murmurait : « Ce n’est pas un adieu, ma douce. Tu as mérité chaque plume de tes ailes. »

Et dans ce moment de calme, la petite Jailyn rendit son dernier souffle, paisible, libre et emplie d’amour.
Elle était pure lumière depuis sa naissance : un rire qui emplissait les pièces, des yeux pétillants d’émerveillement, un cœur toujours prêt à donner.
Même dans la douleur et les nuits à l’hôpital, elle souriait, réconfortait les autres et aimait sans limites.
Sa mère disait : « C’est un honneur d’être ta maman. »
Et même si ses bras sont vides maintenant, son cœur portera toujours cet amour.

Car l’histoire de Jailyn n’est pas une histoire de perte, mais une histoire de courage, de grâce et d’un amour si fort qu’il touche le ciel.