Le Brutal Snub de la Chine : Von der Leyen Humiliée et Mise à la Porte !

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Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a été humiliée lors de sa visite à Pékin, où elle a été reléguée à un minibus ordinaire, un acte symbolique qui marque un tournant décisif dans les relations entre l’Union européenne et la Chine. Le 24 juillet, à son arrivée à l’aéroport international de Pékin, elle s’attendait à un accueil triomphal, mais a été accueillie par un protocole glacé. Ni limousine, ni cérémonie, juste un minibus aux sièges usés, la transportant dans l’indifférence totale de la capitale chinoise.

Cette scène choquante n’est pas qu’un simple incident protocolaire ; elle illustre le mépris croissant de la Chine envers l’UE, qui a longtemps été considérée comme un partenaire commercial clé. Alors que les dirigeants européens espéraient faire pression sur Pékin pour des concessions sur des questions de commerce, de droits de l’homme et d’accès au marché, la réalité a été tout autre. Les discussions ont été brèves et brutales, avec un message clair de Xi Jinping : “Le respect va dans les deux sens.”

L’annulation du dîner d’État, censé être le point culminant de la visite, a été un coup dur pour von der Leyen. En Chine, refuser de partager un repas est un affront majeur, un signal que l’invitée n’est pas la bienvenue. Pendant ce temps, les dirigeants d’entreprises européennes se retrouvaient dans des dîners privés, signant des accords lucratifs à des milliards d’euros, tandis que von der Leyen et son équipe étaient laissés de côté.

Cette humiliation publique souligne la fracture croissante entre l’UE et la Chine. Alors que l’Europe tente de maintenir des positions de force avec des sanctions et des tarifs, la Chine prouve qu’elle est prête à ignorer ces menaces et à redéfinir les règles du jeu. Les répercussions de cet affront pourraient se faire sentir dans l’ensemble de l’Europe, où les entreprises et les citoyens commencent à réaliser que leur avenir économique est en jeu.

La visite de von der Leyen à Pékin n’est pas seulement un échec diplomatique ; c’est un signal d’alarme concernant l’irrélevance croissante de l’UE sur la scène mondiale. La fermeture des portes du minibus n’est pas seulement la fin d’une visite, mais peut-être le début d’une nouvelle ère où l’Europe doit faire face à la réalité de sa position sur le marché mondial. Les dirigeants européens doivent maintenant se réveiller et réévaluer leur approche face à la montée en puissance de la Chine.