L’ITALIE CHOQUE L’UE – Meloni envoie des soldats aux frontières !
Dans un tournant radical qui secoue l’Union européenne, la Première ministre italienne Giorgia Meloni a annoncé l’envoi de troupes aux frontières du pays pour lutter contre l’immigration illégale. Cette décision audacieuse fait suite à une montée alarmante des arrivées de migrants en provenance d’Afrique du Nord, transformant l’Italie, autrefois terre d’accueil, en bastion de la fermeté migratoire.

En quelques heures, le gouvernement italien a déclaré une guerre ouverte aux passeurs, déployant des forces militaires en Méditerranée pour intercepter les embarcations de migrants. Les opérations de sauvetage menées par des ONG, autrefois saluées, sont désormais bloquées, et des sanctions sévères menacent quiconque enfreint les nouvelles lois sur la protection des frontières. Les bateaux des passeurs sont neutralisés, et les moteurs confisqués ou détruits.

L’Italie a investi massivement, à hauteur de 5 milliards d’euros par an, dans des navires de guerre et des drones pour renforcer ses capacités de surveillance. Ce coup de force intervient alors que l’Union européenne dévoile un nouveau pacte migratoire controversé, imposant des quotas de migrants à chaque État membre. Meloni a réagi avec véhémence, qualifiant ce plan d’attaque contre la souveraineté italienne.

Le soutien populaire pour Meloni est immense, avec 77 % des Italiens derrière elle dans sa lutte contre l’immigration. Les tensions montent au sein de l’UE, où des pays comme la Hongrie et la Pologne expriment leur solidarité, tandis que d’autres, comme l’Allemagne, restent silencieux face à cette crise. L’Italie, en agissant seule, envoie un message clair : elle ne sera plus le “self-service” de l’Europe.

Les conséquences de cette politique sont déjà visibles. Les arrivées illégales ont chuté de 60 %, mais les critiques s’intensifient, avertissant que cette approche pourrait mener à une crise humanitaire. Les centres de rétention en Albanie, conçus pour traiter les demandes d’asile, sont déjà sur le fil du rasoir en raison de coûts exorbitants.
La confrontation entre Rome et Bruxelles est désormais inévitable. Meloni, déterminée à défendre l’identité italienne, se positionne comme la voix des nations souveraines, défiant les élites de l’UE. Alors que l’Italie se prépare à un éventuel référendum sur son appartenance à l’UE, la question se pose : qui cédera le premier ? L’Italie ou Bruxelles ? La situation reste explosive et l’avenir de l’Europe est en jeu.